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vendredi 27 février 2009

Thème de discussion du 21 01 n2009
Les Idées:
En introduction François interroge le groupe pour savoir selon nous ce qui est le plus important dans une discussion. Les réponses sont diverses et celles qui ressortent sont:
Avoir un discours adapté
Faire preuve d'écoute
Ne pas imposer ses idées
être à l'écoute des idées des autres
-On souligne que la quantité n'est pas forcément importante et qu'il vaut mieux privilégier le qualitatif
Messaoud explique que l'un et l'autre peuvent très bien aller ensemble
et prend pour exemple les nuits entière que l'on peut passer à discuter

-François pense qu'il faut cadre la conversation afin de garder sa clarté à la conversation mais alain F. estime que le débordement est inéluctable et pas forcément négatif
Enfin on évoque les opinions , les points de vues et la capacité à en changer.
Francois enchaîne sur les idées à proprement parler.
Citation: «un homme sérieux a peu d'idées»
et par extension ( selon François) un homme qui a trop d'idées n'est pas sérieux.
Réaction des participants : Qu'entends on par idée
-Entrevoir
-Avoir un plan
-Ne pas discuter dans le vide
C'est le début de la pensée
Idées VS pensée
Ce sont des questions que l'on se pose.
Fanny se demande comment se forment les idées?
Elles sont empreintes de notre vécu.
On a tendance à chercher le pourquoi de nos pensées ' le cheminement ce qui nous a amener à penser ça car tout a une incidence
François pense que le danger des idées est l'enfermement sur soi on tourne en rond avec ses questions souvent sans réponse ou avec lesquels nous sommes en contradiction.
Il pose donc la question :Est-il bon d'avoir des idées?
L'échange permet de sortir de son cercle de pensées de s'ouvrir à l'autre et en tenant compte des idées des autres peut être réussir à se dépêtrer de ses pensées difficiles. L'échange permet donc le partage, l'ouverture mais aussi la matérialisation de projet.
Pourtant on ne partage pas tout. Les différent intervenants pensent que ce constat est du au spécificité de chacun certaines choses sont plus faciles à dire que d'autres car elles n'amènent pas de jugement d'autrui. De plus chacun arrive plus ou moins à se confier à l'autre.
On arrive à la conclusion que de ne pas garder ces idées pour soi permet la discussion .En effet si chacun émet une idées cela créent une conversation puis chacun 2 idées puis 3 puis cela fait un GEM(Fanny).
Doit on se fier aux idées ou à l'apparence.
Fanny pense aux 2. Mais elle ajoute qu'une relation ne peut être durable si elle n'est basée que sur l'apparence.
De plus Alain F. ajoute qu'avec le développement des cyber relations on fait fi des apparences car on ne voit pas l'autre. On se découvre donc par les idées. Certains trouvent l'échange virtuel étrange. On revient sur l'échange en notant l'importance de l'adaptation à l'autre à son vécu ,ses particularités... Et encore une fois à l'importance de l'échange pour ne pas s'enfermer sur ses idées perpétuer l'angoisse , se laisser gouverner par ses humeurs. Cependant l'échange est difficile et certains ont parfois l'impression de ne pas faire partie de la sphère de l'autre,des autres.
On en vient donc à la problématique de la solitude.
«Mieux vaut être seul que mal accompagner».
CONCLUSION:Il n'est pas nécessaire d'avoir trop d'idées. Mais malgré tout les idées font la vie.

mardi 24 février 2009

Le château de VERSAILLES
Si cela ne vous dérange pas j'aimerai commener par de l'histoire qui remonte au onzième siècle. Donc en 1038 la mention de VERSAILLES apparaît dans une carte par l'abbaye Saint Pierre de CHARTRES. Hugo de VERSAILLIS est l'un des signataires au dixième siècle. Des moines défrichèrent le terrain et fondent l'église du prieuré Saint Julien.
En 1429 deux seigneurs Guy et Pierre de VERSAILLES sont mêlés à la vie de Jeanne d'ARC sous Louis VII, Pierre rentre à BOURGES sur la virginitée de Jeanne d' ARC quand à Guy devient Chamoine de TOURS et participa au procès de celle-ci.
A la fin de la guerre de cent ans le petit bourg se présentait dans un triste état, les maisons dévastées, pillées et on été abandonnée, y compris le château en ruine. C'est la famille SOISY qui relève les batiments détruits composé d'un corp principal et d'une aile précédée d'un portail en cadre et de deux tourelles.
Ce petit bourg c'est appelé VERSAILLES au bourg de GALIE sur des écrit datant de 1472. Ses seigneur relevaient en département du roy. Leur modeste château dominait l'église, le village.
En 1475 Gilles de VERSAILLES seigneur céde ses droits sur TRIANON à l'abbé Saint Germain avec un acte de vente. Ce village a été détruit par Louis XI dans le but de renouvelé les terres du domaine royal pour le collationner, cherchant à fuir en famille le protocole trop pesant de PARIS.
Le roi était à TRIANON plus proche des siens. Cela a été un des lieux de détentes comme MARLY, loin de l'étiquette et des fatigues du pouvoir.
En 1561 le domaine est vendu à Martial de LOMENIE le secrétaire des finances de Charles IX qui l'agrandi pour atteindre 150 Hectares.
En 1572 LOMENIE fut assassiné lors de la saint Barthélémy. L'estoile rapporte dans ces mémoires que la reine Catherine de MEDICIS fit étrangler dans l'intérêt du comte de RETZ. Pour lui faire avoir ce château le secrétaire d'état possesseur de celui-ci mais cela n'est pas tout à fait sur.
L'année suivante, Albert de GONDI (baron de MARLY), comte de RETZ, un des florentins qui accompagne Catherine de MEDICIS en france devient propriétaire du château et de la seigneurie de VERSAILLES en rachetant le domaine pour 35000 livres.
En 1589 un mois avant qu'il ne devienne roy de France, le roi de Navarre Henri IV séjourne à VERSAILLES. Revenant de BLOIS, il s'y arréte du 7 au 9 Juillet et est reçu par Albert de GONDI, il y retourna en 1604 et 1609. Entre temps, en 1607, le dauphin, qui deviendra Louis XIII fait sa première chasse à VERSAILLES.
En 1616, Albert de GONDI cède la seigneurie à son fils Jean François.
VERSAILLES SOUS L'ANCIEN REGIME
Les origine du château Louis XIII :
le vieux château :
En 1623, Louis XIII , le père de Louis XIV, fit construire au milieu des forêts et au sommet d'une butte cernée par des marais insalubre un modeste logis en brique, pierre et ardoise. S'il constituait son rendez-vous de chasse favori, il ne formait pourtant qu'une construction rustique et purement utilitaire. La disposition de ses pavillons, et des fossés qui l'entourait rappelait encore certaines constructions féodales.
Louis XIII fit batir cette nouvelle habitation sur un terrain qu'il acheta à Jean de SOISY, dont la famille était propriétaire depuis le XIVè siècle. Dans sa petite demeure, Louis XIII recevait de temps en temps sa mère Marie de MEDICIS et son épouse Anne d'AUTRICHE. Elles ne faisaient qu'y passer sans jamais y coucher.
Le premier château de VERSAILLES s'élevait au fond de l'actuelle cour de marbre. Le corps de logis principal mesurait 24 métres de long sur 6 métres de profondeur et se limitait de chaque côté à deux ailes basses. L'appartement du roi comprenait une petite galerie ou était accroché un tableau représentant le siège de la rochelle. Puis, venait quatre pièces dont les murs étaient couverts de tapisseries. La chambre du roy occupait le centre de l'édifice, emplacement qui correspondra par la suite avec celui du lit de Louis XIV.
Le 11 novembre 1630, le cardinal de RICHELIEU se rendit secrétement à VERSAILLES dans le but de convaincre le roi qu'un complot était fomenté par la reine mère ( Marie de MEDICIS), cet événement sera connu, plus tard, sous le nom de journée des dupes. RICHELIEU resta premier ministre et la reine mère fut exilée.
1631-1634 premier agrandissement
Le 8 avril 1632 Louis XIII rachetait le domaine de VERSAILLES à Jean François de GONDI, archeveque de PARIS, oncle du cardinal de RETZ, et héritier d'Albert.
Le roy ne fit l'acquisition de ce château que pour le démolir et ainsi étendre le panorama de la résidence Royale. D'après la tradition

mardi 10 février 2009

COMPTE RENDU DE LA DISCUSSION A THEME

Le Charisme:

Définition: 1.Don conféré par la grâce divine ,pour le bien commun
2.Qualité qui permet de à son possesseur d'exercer un ascendant,une autorité sur un groupe
C'est Ophélie qui introduit le sujet par un petiti texte et en partant de la définition du charisme et rappelle le sens religieux que l'on a tendance à oublier Alain complète(Cf charismatique)
le débat s'ouvre par la question de Jean Marc : »peut on parler à la fois de charisme et d'altruisme ».Eric cite l'abbé Pierre comme contre exemple.
Alain note pourtant le mauvais usage que certains font de leur charisme notamment par l'extorsion des biens des gens que ces personnages tiennent sous leur coupe.(Cf gourou ...).
La question est donc d'exercer son charisme pour le bien commun ou pour son propre confort
Alain pense que l'ascendant qu'exerce un être charismatique dépend du recul et de la vision que le groupe à sur ses propos.
Le charisme peut il être subjectif , dépendre des auditeurs.